SAVE THE DATE : TELECONFERENCE SUR L’ENGAGEMENT. Mardi 29 nov. 13h00.

engagement equipe professionnelleVous êtes Dirigeant ou DRH et vous vous interrogez sur la motivation et l’engagement de vos équipes ? Alors, lisez ceci !

Vous évoluez depuis plusieurs années dans un environnement incertain et fort contraignant ?
Vous avez besoin de développer l’innovation et la créativité face à une concurrence de plus en plus forte ?
Vos équipes gèrent les urgences et sont sous pression ?
Vous constatez une baisse d’engagement et de motivation chez vos collaborateurs, même les plus fidèles ? Vous aimeriez des équipes plus collaboratives et qui prennent plaisir à travailler ensemble ?

Bref, vous aimeriez voir vos collaborateurs engagés, responsables et épanouis ?

Alors, ce webinaire sur l’engagement est fait pour vous !
Il aura lieu le mardi 29 novembre à 13h00.
N’attendez plus, inscrivez-vous dès maintenant via ce lien :

WEBINAIRE SUR L’ENGAGEMENT – Mardi 29 Novembre 2016 à 13h00 (places limitées)

J’aurai le plaisir de le co-animer avec Maud de Pontlevoye.

Nous sommes deux anciennes DRH devenues Coachs Professionnelles certifiées et aujourd’hui spécialisées dans l’accompagnement des dirigeants et de leurs équipes.

Conscientes des problèmes rencontrés actuellement par les DRH et de leurs enjeux business, nous avons développé une approche innovante et sans équivalent sur le marché.

Pour en savoir plus, inscrivez-vous dès maintenant au webinaire sur l’engagement le mardi 29 novembre à 13h00 précises (places limitées).

Vous serez peut-être l’une des personnes privilégiées à bénéficier de l’une des dix sessions stratégiques offertes d’une valeur de 1600 euros HT.

Inscrivez-vous maintenant en cliquant ICI

WEBINAIRE SUR L’ENGAGEMENT – Mardi 29 Novembre 2016 à 13h00 (places limitées)

A très vite !

JE RESERVE MA PLACE !

WEBINAIRE DU MARDI 29 NOVEMBRE 2016 – 13h00

Deuil d’un animal de compagnie : faire le deuil de son chien ou de son chat.

photo-atollFaire le deuil de son chien ou de son chat est un VRAI deuil.

 Le deuil d’un animal de compagnie est un VRAI deuil, pourtant très peu reconnu par la Société.

Autant l’entourage se montre souvent compréhensif (et empatique) si vous avez perdu un parent ou un proche, autant celui-ci peut se montrer intolérant, voire ironique, si vous êtes dans le chagrin car vous avez perdu votre chien, votre chat, votre oiseau, votre rongeur… bref ce petit compagnon qui vous tenait compagnie et vous offrait mille et une joies au quotidien. Continuer la lecture

La personne dans la tristesse entendra des phrases du type : « Mais enfin… ce n’est qu’un chat !!… Tu ne devrais pas te mettre dans un état pareil. C’est juste un animal…Ce n’est pas un humain !!… »… …et elle se sentira encore plus incomprise et seule !

Le Deuil des humains est déjà passablement bâclé dans nos sociétés occidentales, avec un rituel limité, souvent insuffisant pour faire REELLEMENT SON DEUIL…

Le deuil de l’animal de compagnie est quant à lui totalement ignoré : il relève du déni le plus complet.

Une personne vit dix ou vingt ans QUOTIDIENNEMENT avec un animal, s’y attache, développe des liens affectifs et serait censée traverser cette perte comme si de rien n’était ou remplacer l’être perdu, à l’identique par un autre animal. (« Tu n’as qu’à aller prendre un autre chat !… »).

Comme si « remplacer » un animal de compagnie par un autre faisait l’économie du Deuil… C’est même un très mauvais conseil : si le deuil n’est pas fait AVANT le remplacement, le nouvel animal risquera d’en payer les frais, bien incapable qu’il sera précisément de REMPLACER.

Personne ne remplace personne, ni chez les Humaines, ni chez les animaux. Chacun est unique !

Voilà qui relève d’un manque d’empathie le plus total par rapport à ce que vit cette personne : un vrai deuil, sans rituel d’assimilation, ni accompagnement psychologique pour traverser le chagrin.

Comment faire le deuil d’un animal de compagnie ?

Parce ce que je suis passée par là et que JE SAIS la profonde peine dans laquelle nous sommes plongés à chacun de leur départ, je me suis formée à l’Accompagnement du deuil humain et je l’ai adapté au DEUIL DE L’ANIMAL DE COMPAGNIE (et ses spécificités).

Je propose aujourd’hui une offre unique (à ma connaissance) : un ACCOMPAGNEMENT PSYCHOLOGIQUE PROFESSIONNEL, riche en rituels, symbolique et accompagnement, pour aider les personnes à traverser le chagrin… et à faire le deuil de leur animal de compagnie.

Je propose un ACCOMPAGNEMENT INDIVIDUEL (sous la forme de séances 100% personnalisées) et/ou un ACCOMPAGNEMENT EN GROUPE (sous la forme d’un stage ponctuel – date à définir).

Si vous êtes dans ce cas… ENSEMBLE, à travers un processus spécialement conçu pour vous aider à traverser la douleur, nous prendrons le temps de nous souvenir, de laisser les larmes sortir, et aussi d’accepter de leur dire « au revoir » pour continuer votre chemin plus sereinement… ET RETROUVER LA PAIX.

Je suis formée au coaching individuel, mais aussi à la Gestalt (notamment aux processus corporels en Gestalt-Thérapie). Ma pratique est bien évidemment supervisée.

Si vous êtes intéressé(e), veuillez remplir le formulaire ci-dessous :






OUI, je souhaite être accompagné(e) dans le deuil de mon animal de compagnie.



Si vous aussi, vous avez perdu un animal cher à vote coeur, commentez cet article et dites-moi comment vous avez traversé ce deuil…

Mon nouveau Bureau… avec vue sur mer !

J’ai décidé d’installer le Blog du Coaching au soleil….

Si, vous aussi, vous voulez mettre Internet au service du développement de vos activités professionnelles et mettre à profit les nouvelles solutions offertes par la Digitalisation pour développer votre Clientèle, cliquez ici pour vous maintenir au courant de mon actualité : je vais bientôt vous expliquer COMMENT faire pour vous aussi, avoir plus de temps libre, travailler à distance et automatiser une partie de votre développement grâce au Web !

Mais attention, pour être tenu au courant, il faut s’inscrire ICI :

Le Blog du Coaching est sur YouTube !

Happiness whatever good for your soulC’est parti mon kiki : le Blog du Coaching est sur Youtube ! Après 129 articles divers et variés, j’ai décidé de me lancer dans la video ! Je me suis dit que vous étiez sans doute comme moi : après une longue journée de travail, j’ai davantage envie de suivre une vidéo que de me plonger dans un article, aussi intéressant soit-il !!..

Du coup, je vais désormais alterner articles et vidéos dans mon blog… dès que j’aurai compris comment fonctionne ce matériel de geek et comment monter tout cela !

Je vais avoir besoin de vos encouragements, car l’informatique a le don de m’énerver très rapidement, surtout quand cela ne marche pas… Allez savoir pourquoi : je suis capable de rester ZEN dans les embouteillages…. mais PAS face à un ordinateur qui me résiste !!!…

En attendant les vidéos diverses et variées sur tout un tas de sujets passionnants (comme l’Appreciative Inquiry par exemple), je vous présente le générique de ma chaîne YouTube, monté avec mes petites mains, toute seule comme une grande :

ET VOUS ? QUELS SONT LES THEMES QUE VOUS AIMERIEZ QUE JE TRAITE EN VIDEO ? QU’EST-CE QUI VOUS FERAIT PLAISIR ?

Lâchez-vous, c’est GRATUIT !!… 😆

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Chief Happiness Officer (CHO) : un rôle stratégique pour demain ?

 

Chief Happiness OfficerChief Happines Officer, c’est quoi ? Juste une nouvelle mode outre-Atlantique ou une tendance de fond ? Et c’est quoi la différence avec un DRH ? En management et en particulier sur les notions de leadership, les Etats-Unis ont souvent quelques années d’avance sur nous. Internet et les nouveaux moyens de communication n’ont, curieusement, pas beaucoup rapproché nos continents dans nos manières de penser, ni accéléré la contagion des pratiques managériales, même pour les bonnes !… Les Français seraient-ils d’irréductibles réfractaires au changement ? Quand on voit l’état d’avancement du dialogue social en France, ainsi que les pratiques de management parfois encore très paternalistes en place, il y a de quoi se poser des questions… Continuer la lecture

Comme toujours, l’un des critères qui fera la différence entre les entreprises qui réussiront et les autres, sera, entre autres, la capacité à se remettre en questions dans les façons de fonctionner et de penser, et osons le mot, dans la façon de gouverner les entreprises. Combien de CEO pensent sincèrement que les hommes sont importants et qu’il faudrait s’en occuper autrement, mais qui n’osent pas, pour autant, recruter un DRH porteur d’un nouveau souffle, avec une vraie vision et des idées innovantes, idées qui viendront nécessairement bousculer un peu leurs habitudes. Changer, oui… mais pas trop : il y a encore de l’avenir pour les DRH-pots-de-fleurs que cela ne dérange pas d’être de gentils exécutants.

C’est sous-estimer le bénéfice qu’aurait à retirer toute entreprise au niveau de sa performance, en s’entourant d’une vraie fonction RH business-partner qui bousculerait les façons caduques et usées de fonctionner.

La Joie a disparu des entreprises. Tout le monde en conviendra : il y avait beaucoup plus de rires et d’énergie dans les bureaux il y a 15 ans qu’aujourd’hui. La faute à la crise ? Pas seulement. C’est pourquoi, pour y remédier, les USA, dans leur grand pragmatisme, ont créé une nouvelle fonction : un Directeur Général du Bonheur, reportant directement au CEO, tant le rôle a été jugé comme stratégique.

Attention, il ne s’agit pas de recruter un G.O. type Club Med au sein du Codir. L’idée est davantage de recréer les conditions d’un épanouissement et d’un engagement fort des collaborateurs au service d’une performance économique durable.

Chief Happiness Officer (CHO) : quel rôle exactement ?

Martin Seligman, considéré comme l’un des fondateurs et piliers de la psychologie moderne a quelques idées sur la question : selon lui, l’environnement professionnel doit favoriser les émotions positives (plutôt que le stress et le burn out), l’engagement (et la sensation de ‘’flow’’ qui en découle quand on ne ressent plus le temps passé) et être porteur de sens (au delà du sens de la simple progression du chiffre d’affaires).

Pour ce faire, il est nécessaire de rendre aux salariés, une autonomie forte (au service des activités core-business), une contribution diversifiée (via le développement des talents), du lien authentique entre les salariés (via une organisation collaborative développée par des méthodes telles que l’Appreciative Inquiry par exemple), une forte estime de soi (renforcée par un feedback encourageant et soutenant). Bref, tout cela s’organise très professionnellement, encore faut-il avoir été formé pour le faire : ne s’improvise pas Chief Happiness Officer qui veut.

Un bon CHO sera nécessairement un leader doté d’une vision stratégique, formé aux techniques collaboratives et capable de mettre en place une organisation au service de l’innovation, de l’intelligence collective et d’une performance pérenne.

Et c’est là que le bât blesse : le DRH est une personne de choix pour cette évolution, encore faut-il qu’il ait envie de changer lui-même (avant d’accompagner le changement des autres)… et cela prend du temps, du budget, de l’accompagnement, bref, un vrai travail sur soi en sus de l’apprentissage des nouvelles méthodes collaboratives anglo-saxones.

« Soyons le changement que nous voulons voir dans le Monde ». Parfois, je me prends à rêver d’un CEO qui ferait sienne cette citation de Gandhi….et qui, à l’instar de certains patrons inspirants pour lesquels j’ai eu le bonheur de travailler, seraient non seulement de bons dirigeants, mais aussi des figures modélisantes en termes de valeurs et de comportements dans la relation à l’autre. J’imagine déjà la moue dubitative de certains d’entre vous devant mes attentes…

Les petits chefs resteront sans doute des petits chefs, je ne parle pas de ceux là. J’évoque plutôt ces dirigeants qui ont conservé l’intelligence du Cœur, aux côtés de l’intelligence économique et stratégique…et là, je suis sure qu’il y en a, car il m’arrive même d’en croiser ! Je fais le pari que ce sont ces CEO qui, en visionnaires précurseurs, ouvriront la voie des premiers Chief Happiness Officer en France. Chief Happiness Officer (CHO) : un rôle stratégique pour demain ? Non, un rôle stratégique pour aujourd’hui. Affaire à suivre !

Le Bonheur au Travail

ET VOUS ? QUEL EST VOTRE AVIS SUR CETTE NOUVELLE FONCTION AU SEIN DES ENTREPRISES ?

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Comment choisir un (très) bon coach : mes conseils de DRH.

comment choisir un bon coachComment choisir un coach ? Comment bien choisir un coach ? Comment choisir un coach pour soi ou pour ses salariés ? Quels critères retenir ? Que faut-il vérifier ? Quels conseils suivre ? Le Blog du Coaching va vous donner ses réponses…

Ces questions me paraissaient complexes il y a encore quelques années; elles me paraissent simples aujourd’hui. Et pour cause : je me suis formée au coaching.

Je vois aujourd’hui, avec beaucoup de lucidité, ce qui différencie deux coachs. J’identifie très clairement ce qui constitue, à mes yeux, des qualités incontournables ou des défauts rédhibitoires. Quand j’étais DRH (et pas encore formée intensivement au coaching comme aujourd’hui), j’avais beaucoup de mal à trouver des coachs sérieux, dignes de ce nom. : il y avait à l’époque, beaucoup de  »clowns » dans ce métier, auto-proclamés coachs et à qui je n’aurais confié strictement personne entre les mains, tant ils me semblaient eux-même, particulièrement instables, flous dans leurs présentations ou leurs propos… et parfois même, carrément « allumés ». Encore aujourd’hui, dans la population de coachs que je fréquente, rares sont celles et ceux que je conseillerais autour de moi : il en existe, fort heureusement, mais ceux que je ne recommanderais pas, pour diverses raisons, sont plus nombreux. La bonne nouvelle est que si je reprends un poste de DRH, je saurai comment m’entourer et qui appeler si besoin.

Choisir un coach professionnel : les points à vérifier ?

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Tout d’abord, la formation en coaching est un point clef. Dans mon article, Coaching : quelle formation et quelle école choisir ?, j’avais fait la liste des points à vérifier pour choisir une formation sérieuse. C’est un domaine où il y a à boire et à manger. N’importe qui peut se définir comme coach… et n’importe qui peut délivrer une certification privée de coaching ! La longueur de la formation, son esprit, ses pré-requis sont essentiels. Devenir coach, c’est acquérir des techniques, mais c’est avant tout travailler sur soi et développer une posture intérieure qui prend du temps. Personnellement, je choisirais EXCLUSIVEMENT quelqu’un formé dans une école pendant un parcours de plus d’un an et dont l’Ecole exige une psychothérapie personnelle en parallèle.

Je choisirais un coach qui a suivi -et continue à suivre- une thérapie, et plus particulièrement une thérapie en Gestalt. En effet, l’outil principal du coach est… lui-même. Un coach s’appuiera autant sur les différents outils et approches variées sur lesquels il s’est certifié, que sur ce qu’il ressent dans son corps, ce qui émerge pour lui pendant les séances. Il n’en sera capable qu’en ayant développé une perception fine de lui-même et en s’étant libéré, le plus possible, de ce qui pourrait venir de sa propre histoire, de ses propres transferts et projections personnelles. Et là, il n’y a qu’une seule méthode qui marche : la thérapie. Dans les différentes formes de thérapies qui existent, il n’y en a qu’une seule que je trouve particulièrement efficace : l’approche Gestalt qui, dans sa forme hollistique, va explorer les trois aspects de l’intellect, de l’émotionnel et du corps.

Pour garantir un travail sur soi en profondeur chez mon coach, je ne choisirais qu’un coach, avec une école longue, et un parcours en thérapie Gestalt individuelle ET en thérapie Gestalt en groupe. Pourquoi ? Parce que le groupe est un accélérateur UNIQUE de toute thérapie. Consacrer deux jours par mois à une thérapie collective Gestalt, c’est la garantie au bout de deux ans, d’avoir effectué un minimum de travail sur soi, en-deçà duquel je ne confierais pas, personnellement, ma confiance et mon propre suivi.

Ce qui va sans dire va encore mieux en le disant : JE CHOISIRAIS UN COACH GESTALTISTE, avec une formation complémentaire, soit chez EPOKE, soit à l’EPG (Ecole Parisienne de Gestalt).

Je choisirais un coach qui continue à se former en permanence. La formation de base et une thérapie profonde, c’est le minimum syndical. Personnellement, j’accorderais de l’attention aux certifications complémentaires et aux différents outils que ce coach a choisi d’explorer ou non.

Je validerais également l’existence de ces certifications. Je tombe de ma chaise à chaque fois que j’apprends que tel(le) coach n’est finalement pas certifié(e) de son école, quand bien même il ou elle s’en réclame, ayant arrêté sa certification en cours de parcours. Il y a beaucoup de mythomanes chez les coachs ou tout au moins, des personnes qui s’arrangent, sans sourciller, avec leur(s) petites vérité(s), sans prendre conscience que non seulement, ils se mentent à eux-mêmes, mais qu’en plus, ils mettent leurs coachés en danger, dans leurs désirs de toute-puissance.

Je choisirais un coach qui n’est pas dans la toute-puissance : c’est le critère le plus difficile à valider. Une bonne thérapie Gestalt et un espace de supervision devraient éviter au coach cet écueil, malheureusement si répandu. Un coach se met au service de son client et de ce qui émerge pour lui :  en aucun cas, il ne sait à la place de l’autre ou pour l’autre. Il est garant du sens et du processus pour vous aider à atteindre vos objectifs. Il ne substituera JAMAIS à vous, dans aucun cas !

Dans le cadre d’une intervention en entreprises, je choisirais aussi plutôt un coach qui connait l’entreprise, à qui je n’aurais pas à expliquer des évidences, bien sûr formé au coaching d’équipes et au coaching d’organisations…. et suivant les interventions, j’aurais, éventuellement, besoin d’un coach anglophone.

Quels sont mes conseils pour choisir un coach professionnel ?

Voilà, vous savez tout sur comment je choisirais mon coach ou mes intervenants en entreprise si besoin. A ceux qui trouvent que je place la barre trop haut dans mes critères, je réponds que je m’applique à moi-même, ma liste d’exigences : je me suis formée au coaching en école spécialisée en 15 mois (dont je suis diplômée), j’ai été exploré et ai passé de nombreuses certifications complémentaires (AT 101, Elément Humain niveau II, Appréciative Inquiry, Psychologie Positive, Théorie Organisationnelle de Berne, constellations d’entreprises), je suis en thérapie individuelle depuis fin 2012, je suis en thérapie collective depuis fin 2013, je continue à me former à la posture Gestalt à l’EPG (j’ai suivi plus de 120 jours de formation en Gestalt en complément) et je suis supervisée.

Ensuite, il convient de compléter ces critères objectifs par des qualités personnelles complémentaires que chacun choisira en fonction de ses propres valeurs.

Pour ma part, je demanderais à consulter le code de déontologie du coach et ne manquerais pas de l’interroger sur ses valeurs.

J’accorderais de l’importance aux qualités suivantes :

  • une intégrité exemplaire, garante de fiabilité, de confidentialité et de confiance (en soi et dans les autres)
  • un esprit optimiste, favorisant l’émergence positive chez l’autre
  • la capacité à entrer en plein contact rapidement et à co-créer un lien profond et authentique
  • une écoute totale, sans jugement, emprunte d’une réelle ouverture à l’autre

choisir un bon coah

ET VOUS ? QUELS SONT VOS CRITERES POUR CHOISIR UN COACH ? QU’EST-CE QUI VOUS PARAIT IMPORTANT ?

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Photo de CV : mes conseils de DRH

 

photo de cvFaut-il mettre une photo sur un CV ?

Je suis étonnée que l’on me pose encore la question…

Je le suis encore plus quand je vois les photos de CV qui circulent sur papier ou même sur Linkedin, réseau professionnel par excellence… Il faut dire qu’on peut lire quelques inepties sur internet sur le sujet. Rappelons les basiques !  😆 Continuer la lecture

Faut-il mettre sa photo d’identité sur son CV ? Il n’y a, à mon sens, qu’une seule réponse : OUI, bien évidemment.

La question n’est même pas à se poser. J’entends bien que certains le déconseillent, prétextant -je cite- :« que cela empêche certains recruteurs à l’esprit malsain de rejeter un profil parce que la candidate n’est pas belle ou que le candidat est de couleur. » Ne soyons pas naifs ! Si le recruteur est malsain, misogyne ou raciste, il ne le sera pas moins APRES avoir rencontré le candidat.. qui sera refoulé de toutes façons, sur un faux prétexte camouflant plus ou moins les vraies raisons, parfaitement illégales dans ces cas précis.

Personnellement, je pars du principe que si une personne doit être refoulée pour « délit de sale gueule » ou pour une discrimination quelconque, autant ne pas se fatiguer et se décourager à passer un entretien perdu d’avance. J’ai parfois entendu des chasseurs de tête me confier : « Je n’ai pas envie de vous mentir Madame Pirus, mais mon Client recherche un homme pour le poste de DRH. Vous n’avez aucune chance… » Dans ces cas, je n’ai jamais eu le sentiment d’avoir raté quoi que ce soit et surtout pas une opportunité de travailler pour une belle personne. Je suis même plutôt reconnaissante que le recruteur ait eu le respect de mon temps et de mon énergie.

La photo de CV a plusieurs avantages : 

  1. Elle fixe la mémoire du recruteur. Les campagnes de recrutement peuvent être denses et il n’est pas rare de rencontrer plusieurs dizaines de candidats pour un même poste. On se souviendra d’autant plus de vous que votre photo sera présente et rappellera vos traits.
  2.  Elle crée un premier lien, plus intime. Un CV avec photo aura toujours plus d’impact, plus de personnalité et de présence qu’un CV sans photo.
  3. Elle favorise les projections. Je l’ai testé cent fois en étant DRH et en laissant des CV en évidence sur mon bureau. Les managers se saisissaient du CV et dans 80% des cas, la première remarque n’était pas sur le fond… mais sur la photo.           Exemples vécus :  » Ah dis donc, elle a l’air sympa celle-là ! » ou encore, à l’opposé: « Ouh là là… Tu as vu sa tête à celle-là, elle n’a pas l’air commode !… Tu es sûre de vouloir la convoquer ??… «  Pures projections dans les deux cas… d’où l’importance  du bon choix de la photo. 🙄

Photo de CV : quelle photo choisir ?

J’ai presque envie de commencer par répondre à la question : quelle photo ne pas choisir ?… et là, les exemples sont encore nombreux. Je passe les cas des photos de vacances, prises sur la plage ou dans le jardin à l’occasion d’un barbecue parce que ce jour là, « on avait bonne mine ». Ni la photo de Noël ou du réveillon, parce que ce jour là « on était bien habillé. » Faut-il le rappeler ? Le seul format acceptable est la photographie d’identité mais attention, pas celle des derniers passeports, sur lesquels il n’est plus autorisé de sourire… Combien de photos de CV, totalement sinistres, ai-je vues passer sous prétexte « qu’il faut avoir l’air sérieux sur un CV » ! Cette croyance est tellement répandue qu’elle mérite bien qu’on lui torde le cou une fois de plus.

La photo de CV doit déclencher une projection POSITIVE chez l’autre, pas l’envie de s’enfuir en courant… Un sourire franc et chaleureux sera toujours préférable à un visage fermé genre « je-sors-de-prison » ou à un sourire coincé « trop corporate ».

Si la photo ne doit pas être le déclencheur de l’entretien, elle doit néanmoins ne pas être rédhibitoire, ni dans ce qu’elle montre de vous ou exprime. Les femmes éviteront les tenues provocantes (un décolleté plongeant n’est pas synonyme d’entretien…) et tout le monde veillera à être habillé professionnellement.

Enfin, il n’est pas idiot d’avoir la même photo sur votre CV et sur les réseaux sociaux comme Linkedin, Viadeo ou votre Twitter Pro : cela aidera à ce que l’on vous retienne et que l’on associe votre visage à votre nom.

Même si ce n’est pas obligé, il peut être préférable de laisser un professionnel capter votre sourire « j’ai-gagné-au-loto »… et éviter de trop la « photoshoper » ensuite, histoire que l’on continue à vous reconnaître une fois la photo retouchée.

Pour choisir la bonne photo pour votre CV, je vous ai préparé un guide gratuit en PDF à télécharger :

POUR TELECHARGER LE GUIDE PDF GRATUIT, CLIQUEZ ICI !

Dans les 8 pages de ce guide, vous allez découvrir…

  • Les 5 raisons pour lesquelles il faut IMPERATIVEMENT mettre une photo sur votre CV.
  • L’erreur classique qui circule chez 90% des candidats sur la photo de CV… et qui leur est pourtant fatale !
  • 5 exemples de photos que l’on voit sur les CV à ne SURTOUT PAS utiliser (et pourquoi).
  • Un TEST SIMPLE, RAPIDE, GRATUIT pour vérifier en 5 questions si la photo de votre CV est OK… ou si elle va vous éliminer !
  • …et bien plus encore !

Vous l’aurez compris : la photo de CV est un ELEMENT CLEF !… encore faut-il bien la sélectionner !!!

Ces Conseils CV vont vous montrer COMMENT EVITER LES ERREURS FATALES et quels critères respecter pour CHOISIR SANS VOUS TROMPER LA MEILLEURE PHOTO POUR VOTRE CV.

C’est bien évidemment 100 GRATUIT !….

POUR TELECHARGER LE GUIDE PDF GRATUIT, CLIQUEZ ICI !

ET VOUS ? AVEZ-VOUS UNE PHOTO SOURIANTE SUR VOTRE CV ?

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L’holacratie, c’est quoi ?

equipes symboleL’holacratie (ou holacracy en anglais), c’est quoi ??…

Tous ceux qui s’intéressent au mouvement des entreprises libérées ou aux nouvelles formes de management entendront parler, tôt ou tard, d’holacratie… mais c’est quoi exactement ?

L’Holacratie, c’est d’abord un système organisationnel de gouvernance qui permet à une organisation de disséminer les mécanismes de prise de décision grâce à des équipes auto-organisées. Elle se distingue donc des modèles hréiararchiques classiques, de type pyramidal (ou top-down), fort répandus dans les organisations actuelles. L’holacratie a été adoptée par plusieurs organisations ( essentiellement aux États-Unis et dans quelques pays anglo-saxons) et est fréquemment comparée à la sociocratie, même si des différences significatives existent entre ces deux approches. Continuer la lecture

L’holacratie repose sur un principe de base qui risque de ne pas plaire à votre boss, à savoir : l’ordre n’a pas besoin de chef.  🙄 

Ses points clefs sont les suivants : la structure organisationnelle a pour but d’organiser le travail (et non les personnes), le processus de gouvernance distribue les autorités (et de ce fait, clarifie l’organisation) et les opérations incluent des réunions tactiques de synchronisation et de triage. L’ordre n’a pas besoin de chef, mais il nécessite tout de même, un minimum d’organisation !

Les collaborateurs deviennent bien plus que des salariés : ils deviennent ainsi des capteurs et des catalyseurs du changement, le seul impératif est que de dernier doit nécessairement être au service de la raison d’être de l’organisation, quand bien même il est générateur de tensions, vécues dès lors comme des ressentis  »normaux », à simplement traiter, car générés par l’écart entre ce qui devrait être et ce qui est.

Quels sont les grands principes de l »Holacratie pour qu’ele fonctionne ?

Il faut d’abord accepter de changer les règles du jeu : le pouvoir n’est plus dans les mains des décideurs, dirigeants ou membres du Codir… et c’est sans doute le frein premier rencontré dans le développement de cette approche. Vous en connaissez beaucoup, vous, des dirigeants qui n’ont plus envie de diriger ?

Les activités de l’entreprise sont désormais réparties en unités de travail qui vont donner lieu à des rôles. Finis les organigrammes jamais à jour et exit aussi, les fiches de poste, jamais à jour non plus. Chaque salarié prend en moyenne en charge quatre rôles : dans cet espace de projet, il n’encadre personne et n’est encadré par personne non plus.

Les roles sont uniquement affectés selon les compétences. Pas de distribution automatique des rôles sympa ou importants aux managers !

L’organisation repose sur un système de gouvernance vivant et souple, qui évolue selon les besoins. C’est lors de ces réunions de gouvernance que sont évoquées et résolues les tensions. Tous les collaborateurs ont l’occasion de s’exprimer et de faire de nouvelles propositions. Si la proposition ne risque pas d’amplifier le problème, elle est dès lors, adoptée.

La vision d’entreprise est abandonnée, au profit des exigences imposées par la réalité. Bon, là, ça devrait en soulager certains, parce qu’avoir une vision inspirante, ce n’est pas donné à tous les patrons, ni à tous les comités de direction. L’entreprise s’adapte d’elle-même, au fur et à mesure, au Monde et à ses nouvelles exigences.

Personnellement, je ne suis pas convaincue par l’holacratie que je trouve trop rigide à mon goût, dans son fonctionnement et dans ses processus… mais je ne prétends pas détenir la science infuse sur ce qui fonctionne (ou non) en entreprises. A chacun de se faire son opinion !…  😆

Vous souhaitez en savoir plus, vous faire accompagner ou vous former à l’holacratie ?

Jean-Michel GODE se fera un plaisir de transformer votre organisation en holacratie. Vous trouverez son contact sur son site : http://holacracyinsider.com.

holacratie joke

ET VOUS ? VOUS EN PENSEZ-QUOI DE L’HOLACRATIE ?

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Le Bonheur au Travail : le documentaire à voir absolument !

Le Bonheur au TravailUne fois n’est pas coutume, cet article sera minimaliste ! En France, comme en Allemagne, seulement 11% des salariés se disent engagés et heureux d’aller travailler le matin. 11%, ça ne fait vraiment pas lourd…

La télévision a déjà produit de très nombreux films sur l’exploitation et le malheur au travail, mais rares sont ceux qui traitent des solutions…Et pourtant, les solutions existent !… et elles marchent.  🙂 Continuer la lecture

Certains entreprises les ont déjà mises en place… et -ô surprise !- non seulement les salariés (re)deviennent heureux -oui, oui, j’ai bien dit « heureux » ! et en plus, les résultats de ces entreprises progressent. De quoi faire taire tous les CFO tristounets avec leurs tableaux Excel déshumanisés.

Et si l’Entreprise de demain refaisait confiance aux salariés ? Et si l’Entreprise de demain redonnait le pouvoir aux gens, plutôt qu’aux chiffres ? Et si l’Entreprise de demain considérait ses collaborateurs en adultes responsables ?…

Oh là là, mais c’est bien dangereux tout cela, non ?…  🙄 

Et bien non, les premiers témoignages sont là pour prouver le contraire ! Travailler ET être heureux, c’est POSSIBLE !  😆 

Pour en savoir plus et reprendre espoir dans les entreprises -et leurs patrons-, voici LE documentaire que TOUS les PDG, DRH et Membres de Codir devraient voir ensemble ! 

Personnellement, cela me donne envie de faire la Révolution dans les entreprises ! Après deux années de recherches, formations et expérimentations en méthodes variées (essentiellement côté US), j’ai même la prétention d’avoir pas mal d’idées sur comment faire revenir le Bonheur en Entreprises.

Je cherche des patrons que la co-aventure intéresse… car c’est bien cela dont il s’agit : co-écrire ensemble une nouvelle organisation du travail, fondée sur l’Humain avec un grand H. Si cela vous intéresse, c’est facile : appelez-moi : 06 81 22 77 67.

Et pour savoir de quoi je parle, regardez ce documentaire… et oubliez TOUT ce que l’on vous a raconté en management ces quinze dernières années ! Vous allez halluciner.

Bon reportage !

http://info.arte.tv/fr/diffusion-du-documentaire-le-24-fevrier-20h50-replay-et-vod

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L’Entreprise Heureuse : vers une toute nouvelle fonction ?

Chief-Happiness-Officer

La Gaité Lyrique à Paris vient d’héberger un événement peu commun : les Journées du Bonheur au Travail ! Trois jours entiers de débats, partages et tables rondes pour échanger sur les thèmes du « mieux travailler ensemble », « épanouissement et performance »…et osons le mot :

                                     le BONHEUR au travail !…  

Car il s’agit bien de cela : travailler ET être heureux. Je fais partie des personnes qui pensent que c’est possible. Continuer la lecture

Pourquoi ? Parce que je l’ai déjà vécu : j’ai déjà été EXTREMEMENT heureuse au travail. Je me suis déjà tellement éclatée que, sur certains jobs, j’aurais même travaillé gratuitement, si je n’avais pas eu un loyer à payer et quelques rêves onéreux à financer (ça coûte cher d’aller nager avec les baleines !… 😎 .

Je fais AUSSI partie des personnes qui ont, plus tard, été malheureuses au travail, avec cette question insoluble à l’époque : comment est-ce possible que cela m’arrive à moi, une ultra-passionnée par mon métier (les RH à ce moment là) ?

Je constatais autour de moi que personne n’échappait à ce déclin d’enthousiasme, que ce soit « en bas de l’échelle » ou « en haut », en comité de direction : qu’est-ce qui s’était donc passé pour que l’on arrive collectivement là ?

Qu’est-ce qui avait éteint notre flamme et surtout… comment la rallumer ?  🙄 

J’ai arrêté ma carrière pendant deux ans pour répondre à ces deux questions. Je me suis beaucoup formée et force est de constater que même les formations en coaching complètes et sérieuses, n’apportaient pas une réponse complètement satisfaisante. Je pensais qu’il me faudrait une année pour répondre à cette problématique; il m’en a fallu le double ! Je suis du genre têtue parfois.

Entreprise heureuse : quels constats sur le terrain ?

Aujourd’hui, je constate les choses suivantes :

de nombreuses entreprises se posent ces questions… mais peu ont, ne serait-ce que, le début d’une réponse.

les DRH n’ont pas de réponse non plus et quand ils ont une intuition pertinente, ils n’ont tout simplement pas le temps de l’explorer, absorbés qu’ils sont par l’opérationnel et les urgences du quotidien.

les managers rêvent de rendre leurs équipes heureuses… mais se demandent bien comment faire.

Bref, c’est un vrai casse-tête qui mobilise beaucoup d’énergie… avec peu de résultat.

Les Etats-Unis sont souvent en avance sur nous. Ils rencontrent les problèmes avant nous… et sont déjà en train de les résoudre, quand nous en sommes encore à la phase de les découvrir. Les Etats-Unis sont en train de voir apparaître une nouvelle fonction : Chief Officer of Happiness. Là-bas, on n’a pas peur des mots et on appelle un chat… un chat ! On est averti : le rôle de cette fonction est clair : créer du bonheur.

Comment créer du bonheur me direz-vous ? En s’inspirant de ce qui fonctionne ailleurs. Restons pragmatiques…

Je crois qu’il y a une nouvelle fonction à créer : un rôle dont le but serait de rallumer la flamme à l’intérieur des organisations, à l’intérieur des équipes, à l’intérieur des collaborateurs.

Rallumer le feu et apprendre à entretenir la flamme, une fois a chaleur retrouvée. Ce ne serait pas forcément du plein temps, ni un job pérenne, le but étant d’amener les équipes à leur propre autonomie, mais plutôt une mission de 6 mois à 12 mois, en fonction de la taille de l’entreprise et de l’ampleur des dégâts… ou l’ampleur des nouvelles ambitions pour formuler cela positivement.

Les techniques existent : elles sont au croisement du coaching d’équipes et du coaching des organisation, complété par des outils empruntés à l’Elément Humain, l’Appréciative Inquiry et la Psychologie Positive appliquée au monde du Travail. Les consultants de demain ont intérêt à s’être beaucoup formés et à accepter de ne pas être que des sachants en position haute, mais surtout des facilitateurs au service de l’émergence de l’intelligence collective, en co-construction avec le dirigeant et ses équipes. Je prends les paris que les entreprises qui se distingueront demain seront celles qui auront pris de l’avance sur ces thématiques : re-créer un environnement d’épanouissement professionnel ET de performance collective.

Car OUI, les deux sont possibles !  😉

Quels sont les premiers patrons qui oseront franchir le pas en France ?  🙄 Les paris sont ouverts… Je sais une chose ; je veux travailler pour ces patrons là !!

Vous savez comment me joindre, n’est-ce pas ? 🙄   06 81 22 77 67 !!!… 😆

Et pour alimenter votre réflexion, un extrait des débats de la Gaité Lyrique : le portrait robot de l’entreprise heureuse et libérée :

ps : je sais, j’ai encore du mal à sourire quand je suis concentrée sur ce que je raconte ! C’est un sujet sérieux, la Joie, pour moi !!!…  😆

Happiness at work creation

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