Comment choisir un (très) bon coach : mes conseils de DRH.

comment choisir un bon coachComment choisir un coach ? Comment bien choisir un coach ? Comment choisir un coach pour soi ou pour ses salariés ? Quels critères retenir ? Que faut-il vérifier ? Quels conseils suivre ? Le Blog du Coaching va vous donner ses réponses…

Ces questions me paraissaient complexes il y a encore quelques années; elles me paraissent simples aujourd’hui. Et pour cause : je me suis formée au coaching.

Je vois aujourd’hui, avec beaucoup de lucidité, ce qui différencie deux coachs. J’identifie très clairement ce qui constitue, à mes yeux, des qualités incontournables ou des défauts rédhibitoires. Quand j’étais DRH (et pas encore formée intensivement au coaching comme aujourd’hui), j’avais beaucoup de mal à trouver des coachs sérieux, dignes de ce nom. : il y avait à l’époque, beaucoup de  »clowns » dans ce métier, auto-proclamés coachs et à qui je n’aurais confié strictement personne entre les mains, tant ils me semblaient eux-même, particulièrement instables, flous dans leurs présentations ou leurs propos… et parfois même, carrément « allumés ». Encore aujourd’hui, dans la population de coachs que je fréquente, rares sont celles et ceux que je conseillerais autour de moi : il en existe, fort heureusement, mais ceux que je ne recommanderais pas, pour diverses raisons, sont plus nombreux. La bonne nouvelle est que si je reprends un poste de DRH, je saurai comment m’entourer et qui appeler si besoin.

Choisir un coach professionnel : les points à vérifier ?

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Tout d’abord, la formation en coaching est un point clef. Dans mon article, Coaching : quelle formation et quelle école choisir ?, j’avais fait la liste des points à vérifier pour choisir une formation sérieuse. C’est un domaine où il y a à boire et à manger. N’importe qui peut se définir comme coach… et n’importe qui peut délivrer une certification privée de coaching ! La longueur de la formation, son esprit, ses pré-requis sont essentiels. Devenir coach, c’est acquérir des techniques, mais c’est avant tout travailler sur soi et développer une posture intérieure qui prend du temps. Personnellement, je choisirais EXCLUSIVEMENT quelqu’un formé dans une école pendant un parcours de plus d’un an et dont l’Ecole exige une psychothérapie personnelle en parallèle.

Je choisirais un coach qui a suivi -et continue à suivre- une thérapie, et plus particulièrement une thérapie en Gestalt. En effet, l’outil principal du coach est… lui-même. Un coach s’appuiera autant sur les différents outils et approches variées sur lesquels il s’est certifié, que sur ce qu’il ressent dans son corps, ce qui émerge pour lui pendant les séances. Il n’en sera capable qu’en ayant développé une perception fine de lui-même et en s’étant libéré, le plus possible, de ce qui pourrait venir de sa propre histoire, de ses propres transferts et projections personnelles. Et là, il n’y a qu’une seule méthode qui marche : la thérapie. Dans les différentes formes de thérapies qui existent, il n’y en a qu’une seule que je trouve particulièrement efficace : l’approche Gestalt qui, dans sa forme hollistique, va explorer les trois aspects de l’intellect, de l’émotionnel et du corps.

Pour garantir un travail sur soi en profondeur chez mon coach, je ne choisirais qu’un coach, avec une école longue, et un parcours en thérapie Gestalt individuelle ET en thérapie Gestalt en groupe. Pourquoi ? Parce que le groupe est un accélérateur UNIQUE de toute thérapie. Consacrer deux jours par mois à une thérapie collective Gestalt, c’est la garantie au bout de deux ans, d’avoir effectué un minimum de travail sur soi, en-deçà duquel je ne confierais pas, personnellement, ma confiance et mon propre suivi.

Ce qui va sans dire va encore mieux en le disant : JE CHOISIRAIS UN COACH GESTALTISTE, avec une formation complémentaire, soit chez EPOKE, soit à l’EPG (Ecole Parisienne de Gestalt).

Je choisirais un coach qui continue à se former en permanence. La formation de base et une thérapie profonde, c’est le minimum syndical. Personnellement, j’accorderais de l’attention aux certifications complémentaires et aux différents outils que ce coach a choisi d’explorer ou non.

Je validerais également l’existence de ces certifications. Je tombe de ma chaise à chaque fois que j’apprends que tel(le) coach n’est finalement pas certifié(e) de son école, quand bien même il ou elle s’en réclame, ayant arrêté sa certification en cours de parcours. Il y a beaucoup de mythomanes chez les coachs ou tout au moins, des personnes qui s’arrangent, sans sourciller, avec leur(s) petites vérité(s), sans prendre conscience que non seulement, ils se mentent à eux-mêmes, mais qu’en plus, ils mettent leurs coachés en danger, dans leurs désirs de toute-puissance.

Je choisirais un coach qui n’est pas dans la toute-puissance : c’est le critère le plus difficile à valider. Une bonne thérapie Gestalt et un espace de supervision devraient éviter au coach cet écueil, malheureusement si répandu. Un coach se met au service de son client et de ce qui émerge pour lui :  en aucun cas, il ne sait à la place de l’autre ou pour l’autre. Il est garant du sens et du processus pour vous aider à atteindre vos objectifs. Il ne substituera JAMAIS à vous, dans aucun cas !

Dans le cadre d’une intervention en entreprises, je choisirais aussi plutôt un coach qui connait l’entreprise, à qui je n’aurais pas à expliquer des évidences, bien sûr formé au coaching d’équipes et au coaching d’organisations…. et suivant les interventions, j’aurais, éventuellement, besoin d’un coach anglophone.

Quels sont mes conseils pour choisir un coach professionnel ?

Voilà, vous savez tout sur comment je choisirais mon coach ou mes intervenants en entreprise si besoin. A ceux qui trouvent que je place la barre trop haut dans mes critères, je réponds que je m’applique à moi-même, ma liste d’exigences : je me suis formée au coaching en école spécialisée en 15 mois (dont je suis diplômée), j’ai été exploré et ai passé de nombreuses certifications complémentaires (AT 101, Elément Humain niveau II, Appréciative Inquiry, Psychologie Positive, Théorie Organisationnelle de Berne, constellations d’entreprises), je suis en thérapie individuelle depuis fin 2012, je suis en thérapie collective depuis fin 2013, je continue à me former à la posture Gestalt à l’EPG (j’ai suivi plus de 120 jours de formation en Gestalt en complément) et je suis supervisée.

Ensuite, il convient de compléter ces critères objectifs par des qualités personnelles complémentaires que chacun choisira en fonction de ses propres valeurs.

Pour ma part, je demanderais à consulter le code de déontologie du coach et ne manquerais pas de l’interroger sur ses valeurs.

J’accorderais de l’importance aux qualités suivantes :

  • une intégrité exemplaire, garante de fiabilité, de confidentialité et de confiance (en soi et dans les autres)
  • un esprit optimiste, favorisant l’émergence positive chez l’autre
  • la capacité à entrer en plein contact rapidement et à co-créer un lien profond et authentique
  • une écoute totale, sans jugement, emprunte d’une réelle ouverture à l’autre

choisir un bon coah

ET VOUS ? QUELS SONT VOS CRITERES POUR CHOISIR UN COACH ? QU’EST-CE QUI VOUS PARAIT IMPORTANT ?

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Ne renoncez à rien !

never give up

Comme beaucoup, j’ai été choquée par la barbarie des derniers attentats, en France et ailleurs…

Comme beaucoup, j’ai été émue par l’humanité des tribunes et chroniques qui ont rendu un vibrant hommage aux victimes des attentats et de l’obscurantisme…

J’ai particulèrement été touchée par l’exhortation épicuriste de François Morel qui nous invitait à ne renoncer à rien.

Pour ceux qui ne l’ont pas entendue, voici la restranscription de sa tirade aussi émouvante que revigorante, suivie du lien de la vidéo en questionContinuer la lecture

« Ne renoncez à rien !

Surtout pas au théâtre, aux terrasses de café, à la musique, à l’amitié, au vin rouge, aux feuilles de menthe et aux citrons verts dans les mojitos, aux promenades dans Paris, aux boutiques, aux illuminations de Noël, aux marronniers du boulevard Arago, aux librairies, aux cinémas, aux gateaux d’anniversaire.

Ne renoncez à rien !

Surtout pas au Chabli, surtout pas au Reuilly, surtout pas à l’esprit. Ne renoncez à rien ! Ni aux ponts de Paris, ni à la Tour Eiffel, ni à la Place République, à la statue de Marianne. Ne renoncez à rien ! Surtout pas à Paris, surtout pas aux titis, surtout pas à Bercy. Ne renoncez à rien ! Ni à Gavroche, ni à Voltaire, ni à Rousseau, ni aux oiseaux, ni aux ruisseaux, ni à Nanterre, ni à Hugo.

Ne renoncez à rien !

Ni aux soleils couchants, aux collines désertes, ni aux forêts profondes, ni aux chansons de Barbara, ni à la foule des grands jours, ni à l’affluence des jours de fête, au Baiser de l’Hôtel de Ville, aux étreintes sous les portes cochères, ni aux enfants qui jouent sur les trottoirs, ni aux cyclistes, ni aux cavistes, ni aux pianistes.

Ne renoncez à rien !

Surtout pas aux envies, surtout pas aux lubies, surtout pas aux folies, ni aux masques, ni aux plumes, ni aux frasques, ni aux prunes, ni aux fiasques, ni aux brunes, ni aux écrivains, ni aux éclats de voix, ni aux éclats de rires, ni aux engueulades, ni aux fils d’attente, ni aux salles clairsemées, ni aux filles dévêtues, ni aux garçons poilus, ni à la révolte, ni à la joie d’être ensemble, ni au bonheur de partager le plaisir d’aimer, ni à la légereté, ni à l’insouciance, ni à la jeunesse, ni à la liberté.

Ne renoncez à rien ! Ne renoncez à rien ! Ne renoncez à rien !

Ne renoncez à rien ! Surtout pas à Paris, surtout pas aux amis, surtout pas à la Vie ! « 

Moi non plus, je n’ai pas envie de renoncer.

J’ai enterré trop de proches pour ne pas avoir en tête que la Vie est fragile et qu’elle peut s’arrêter, comme cela, d’un coup sec, sans prévenir. Il y a des attentats qui ne font pas la une des journaux et qui se nomment crise cardiaque, cancer du sein, cancer de la plèvre. Un jour, le téléphone sonne et la nouvelle tombe : c’est fini. Je regarde souvent les photos de ces personnes, parfois incrédule : leur mort est venue si vite.

Je me dis que nous avons bien eu raison de ne renoncer à rien, pas même aux mojitos-fraise, en terrasse place Cambronne, entre deux chimios… Ca n’a pas repoussé la Mort certes, mais ça a rendu nos derniers souvenirs plus vivants : c’est déjà cela. Il faut, me semble-t-il, savourer chaque seconde de Vie car un jour, elle s’arrête, sans préavis, et nous sommes tous condamnés à cela.

La Vie n’est pas toujours juste, mais la Mort nous rend tous égaux : c’est peut-être cela, la grande justice de la Vie.

La liste est longue de tout ce à quoi je ne veux pas renoncer. J’ai encore 42 rêves qui m’attendent sur les 145 rêves qui composent ma Bucket List !… et quand j’aurai fini, j’en inventerai d’autres.

ET VOUS ? A QUOI NE RENONCEREZ-VOUS PAS ?

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Je continuerai à croire…

colombe de la paixEn hommage aux victimes du terrorisme de Beyrouth, de Paris ou d’ailleurs, ces magnifiques pensées de lutte et d’engagement, attribuées à l’Abbé Pierre. Parce qu’il n’y a qu’une seule façon de répondre à tous les totalitarismes : continuer à être Soi et continuer à essayer de donner le meilleur de soi-même au Monde… Continuer la lecture

« Je continuerai à croire, même si tout le monde perd espoir.
Je continuerai à aimer, même si les autres distillent la haine.
Je continuerai à construire, même si les autres détruisent.
Je continuerai à parler de paix, même au milieu d’une guerre.
Je continuerai à illuminer, même au milieu de l’obscurité.
Je continuerai à semer, même si les autres piétinent la récolte.

Et je continuerai à crier, même si les autres se taisent.
Et je dessinerai des sourires sur des visages en larmes .
Et j’apporterai le soulagement, quand on verra la douleur.
Et j’offrirai des motifs de joie là où il n’y a que tristesse .
J’inviterai à marcher celui qui a décidé de s’arrêter..
Et je tendrai les bras à ceux qui se sentent épuisés.

Car au milieu de la désolation,
Il y a toujours un enfant qui nous regarde plein d’espoir
Un enfant qui nous sourira
Un oiseau qui chantera pour nous
Un papillon qui nous fera cadeau de sa beauté.

Mais si un jour tu vois que je ne marche pas,
Que je ne souris pas et que je me tais,
Alors s’il te plait approche toi de moi et prends moi dans tes bras
Et offre moi ton sourire qui sera suffisant pour moi,
Car un geste de ta part me fera retourner à mon chemin…
Ne l’oublie jamais »

(Texte attribué à l’Abbé Pierre)

continuer abbé pierre

ET VOUS ? QUEL POUVOIR SUR VOTRE VIE ALLEZ-VOUS DONNER AUX TERRORISTES ? QU’ALLEZ-VOUS CONTINUER A FAIRE, A DEVENIR, A ETRE ?

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Photo de CV : mes conseils de DRH

 

photo de cvFaut-il mettre une photo sur un CV ?

Je suis étonnée que l’on me pose encore la question…

Je le suis encore plus quand je vois les photos de CV qui circulent sur papier ou même sur Linkedin, réseau professionnel par excellence… Il faut dire qu’on peut lire quelques inepties sur internet sur le sujet. Rappelons les basiques !  😆 Continuer la lecture

Faut-il mettre sa photo d’identité sur son CV ? Il n’y a, à mon sens, qu’une seule réponse : OUI, bien évidemment.

La question n’est même pas à se poser. J’entends bien que certains le déconseillent, prétextant -je cite- :« que cela empêche certains recruteurs à l’esprit malsain de rejeter un profil parce que la candidate n’est pas belle ou que le candidat est de couleur. » Ne soyons pas naifs ! Si le recruteur est malsain, misogyne ou raciste, il ne le sera pas moins APRES avoir rencontré le candidat.. qui sera refoulé de toutes façons, sur un faux prétexte camouflant plus ou moins les vraies raisons, parfaitement illégales dans ces cas précis.

Personnellement, je pars du principe que si une personne doit être refoulée pour « délit de sale gueule » ou pour une discrimination quelconque, autant ne pas se fatiguer et se décourager à passer un entretien perdu d’avance. J’ai parfois entendu des chasseurs de tête me confier : « Je n’ai pas envie de vous mentir Madame Pirus, mais mon Client recherche un homme pour le poste de DRH. Vous n’avez aucune chance… » Dans ces cas, je n’ai jamais eu le sentiment d’avoir raté quoi que ce soit et surtout pas une opportunité de travailler pour une belle personne. Je suis même plutôt reconnaissante que le recruteur ait eu le respect de mon temps et de mon énergie.

La photo de CV a plusieurs avantages : 

  1. Elle fixe la mémoire du recruteur. Les campagnes de recrutement peuvent être denses et il n’est pas rare de rencontrer plusieurs dizaines de candidats pour un même poste. On se souviendra d’autant plus de vous que votre photo sera présente et rappellera vos traits.
  2.  Elle crée un premier lien, plus intime. Un CV avec photo aura toujours plus d’impact, plus de personnalité et de présence qu’un CV sans photo.
  3. Elle favorise les projections. Je l’ai testé cent fois en étant DRH et en laissant des CV en évidence sur mon bureau. Les managers se saisissaient du CV et dans 80% des cas, la première remarque n’était pas sur le fond… mais sur la photo.           Exemples vécus :  » Ah dis donc, elle a l’air sympa celle-là ! » ou encore, à l’opposé: « Ouh là là… Tu as vu sa tête à celle-là, elle n’a pas l’air commode !… Tu es sûre de vouloir la convoquer ??… «  Pures projections dans les deux cas… d’où l’importance  du bon choix de la photo. 🙄

Photo de CV : quelle photo choisir ?

J’ai presque envie de commencer par répondre à la question : quelle photo ne pas choisir ?… et là, les exemples sont encore nombreux. Je passe les cas des photos de vacances, prises sur la plage ou dans le jardin à l’occasion d’un barbecue parce que ce jour là, « on avait bonne mine ». Ni la photo de Noël ou du réveillon, parce que ce jour là « on était bien habillé. » Faut-il le rappeler ? Le seul format acceptable est la photographie d’identité mais attention, pas celle des derniers passeports, sur lesquels il n’est plus autorisé de sourire… Combien de photos de CV, totalement sinistres, ai-je vues passer sous prétexte « qu’il faut avoir l’air sérieux sur un CV » ! Cette croyance est tellement répandue qu’elle mérite bien qu’on lui torde le cou une fois de plus.

La photo de CV doit déclencher une projection POSITIVE chez l’autre, pas l’envie de s’enfuir en courant… Un sourire franc et chaleureux sera toujours préférable à un visage fermé genre « je-sors-de-prison » ou à un sourire coincé « trop corporate ».

Si la photo ne doit pas être le déclencheur de l’entretien, elle doit néanmoins ne pas être rédhibitoire, ni dans ce qu’elle montre de vous ou exprime. Les femmes éviteront les tenues provocantes (un décolleté plongeant n’est pas synonyme d’entretien…) et tout le monde veillera à être habillé professionnellement.

Enfin, il n’est pas idiot d’avoir la même photo sur votre CV et sur les réseaux sociaux comme Linkedin, Viadeo ou votre Twitter Pro : cela aidera à ce que l’on vous retienne et que l’on associe votre visage à votre nom.

Même si ce n’est pas obligé, il peut être préférable de laisser un professionnel capter votre sourire « j’ai-gagné-au-loto »… et éviter de trop la « photoshoper » ensuite, histoire que l’on continue à vous reconnaître une fois la photo retouchée.

Pour choisir la bonne photo pour votre CV, je vous ai préparé un guide gratuit en PDF à télécharger :

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Dans les 8 pages de ce guide, vous allez découvrir…

  • Les 5 raisons pour lesquelles il faut IMPERATIVEMENT mettre une photo sur votre CV.
  • L’erreur classique qui circule chez 90% des candidats sur la photo de CV… et qui leur est pourtant fatale !
  • 5 exemples de photos que l’on voit sur les CV à ne SURTOUT PAS utiliser (et pourquoi).
  • Un TEST SIMPLE, RAPIDE, GRATUIT pour vérifier en 5 questions si la photo de votre CV est OK… ou si elle va vous éliminer !
  • …et bien plus encore !

Vous l’aurez compris : la photo de CV est un ELEMENT CLEF !… encore faut-il bien la sélectionner !!!

Ces Conseils CV vont vous montrer COMMENT EVITER LES ERREURS FATALES et quels critères respecter pour CHOISIR SANS VOUS TROMPER LA MEILLEURE PHOTO POUR VOTRE CV.

C’est bien évidemment 100 GRATUIT !….

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ET VOUS ? AVEZ-VOUS UNE PHOTO SOURIANTE SUR VOTRE CV ?

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L’holacratie, c’est quoi ?

equipes symboleL’holacratie (ou holacracy en anglais), c’est quoi ??…

Tous ceux qui s’intéressent au mouvement des entreprises libérées ou aux nouvelles formes de management entendront parler, tôt ou tard, d’holacratie… mais c’est quoi exactement ?

L’Holacratie, c’est d’abord un système organisationnel de gouvernance qui permet à une organisation de disséminer les mécanismes de prise de décision grâce à des équipes auto-organisées. Elle se distingue donc des modèles hréiararchiques classiques, de type pyramidal (ou top-down), fort répandus dans les organisations actuelles. L’holacratie a été adoptée par plusieurs organisations ( essentiellement aux États-Unis et dans quelques pays anglo-saxons) et est fréquemment comparée à la sociocratie, même si des différences significatives existent entre ces deux approches. Continuer la lecture

L’holacratie repose sur un principe de base qui risque de ne pas plaire à votre boss, à savoir : l’ordre n’a pas besoin de chef.  🙄 

Ses points clefs sont les suivants : la structure organisationnelle a pour but d’organiser le travail (et non les personnes), le processus de gouvernance distribue les autorités (et de ce fait, clarifie l’organisation) et les opérations incluent des réunions tactiques de synchronisation et de triage. L’ordre n’a pas besoin de chef, mais il nécessite tout de même, un minimum d’organisation !

Les collaborateurs deviennent bien plus que des salariés : ils deviennent ainsi des capteurs et des catalyseurs du changement, le seul impératif est que de dernier doit nécessairement être au service de la raison d’être de l’organisation, quand bien même il est générateur de tensions, vécues dès lors comme des ressentis  »normaux », à simplement traiter, car générés par l’écart entre ce qui devrait être et ce qui est.

Quels sont les grands principes de l »Holacratie pour qu’ele fonctionne ?

Il faut d’abord accepter de changer les règles du jeu : le pouvoir n’est plus dans les mains des décideurs, dirigeants ou membres du Codir… et c’est sans doute le frein premier rencontré dans le développement de cette approche. Vous en connaissez beaucoup, vous, des dirigeants qui n’ont plus envie de diriger ?

Les activités de l’entreprise sont désormais réparties en unités de travail qui vont donner lieu à des rôles. Finis les organigrammes jamais à jour et exit aussi, les fiches de poste, jamais à jour non plus. Chaque salarié prend en moyenne en charge quatre rôles : dans cet espace de projet, il n’encadre personne et n’est encadré par personne non plus.

Les roles sont uniquement affectés selon les compétences. Pas de distribution automatique des rôles sympa ou importants aux managers !

L’organisation repose sur un système de gouvernance vivant et souple, qui évolue selon les besoins. C’est lors de ces réunions de gouvernance que sont évoquées et résolues les tensions. Tous les collaborateurs ont l’occasion de s’exprimer et de faire de nouvelles propositions. Si la proposition ne risque pas d’amplifier le problème, elle est dès lors, adoptée.

La vision d’entreprise est abandonnée, au profit des exigences imposées par la réalité. Bon, là, ça devrait en soulager certains, parce qu’avoir une vision inspirante, ce n’est pas donné à tous les patrons, ni à tous les comités de direction. L’entreprise s’adapte d’elle-même, au fur et à mesure, au Monde et à ses nouvelles exigences.

Personnellement, je ne suis pas convaincue par l’holacratie que je trouve trop rigide à mon goût, dans son fonctionnement et dans ses processus… mais je ne prétends pas détenir la science infuse sur ce qui fonctionne (ou non) en entreprises. A chacun de se faire son opinion !…  😆

Vous souhaitez en savoir plus, vous faire accompagner ou vous former à l’holacratie ?

Jean-Michel GODE se fera un plaisir de transformer votre organisation en holacratie. Vous trouverez son contact sur son site : http://holacracyinsider.com.

holacratie joke

ET VOUS ? VOUS EN PENSEZ-QUOI DE L’HOLACRATIE ?

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